Dès sa sortie, la pièce atteint la 8e position des palmarès américains et se rend jusqu’à la 53e position des palmarès britanniques.
Pour Rush, cette chanson marque le début d’une utilisation de plus en plus fréquente de synthétiseurs. Les paroles commencent également à évoquer des thèmes tels que la solitude, l’isolation, les normes étouffantes de la vie de banlieue et la pression envers les jeunes de laisser tomber leurs rêves au profit du conformisme.
Pour le vidéoclip de Subdivisions, le groupe a filmé les scènes urbaines à Toronto et de scènes de la banlieue à Scarborough, en Ontario. D’autres scènes incluent des images de l’Amoreaux Collegiate Institute de Scarborough, du Don Valley Parkway dans l’est de Toronto et d’une station de métro de la Toronto Transit Commission (TTC).
En 2007, la jeune auteure-compositrice-interprète canadienne Anita Athavale enregistre une magnifique version de Subdivisions; celle-ci se retrouve sur son album « In the Noise ». Ses commentaires au sujet du message inspirant de la chanson reflètent bien l’opinion de la majorité des amateurs du groupe : « Pendant l’écriture de cet album, j’étais dans un tout autre état d’esprit alors que je tentais de composer de la musique. Cette chanson m’a fait réfléchir et m’a poussée à choisir un autre style de vie. »